ACTUALITES
Avril 2012 : Bientôt un nouveau site web !
Comme vous avez sans doute dû le constater, ce site web n'est plus alimenté depuis quelques mois.
Explication: Un nouveau site web du groupe des élu-e-s EELV de Haute-Normandie est en construction, et mobilise tous nos efforts!
Bientôt à cette adresse : http://elus-hautenormandie.eelv.fr/
En attendant, des informations sur les actualités d'EELV en Haute-Normandie sur http://hautenormandie.eelv.fr/
23 août 2011 : La question du nucléaire doit faire l'objet d'un débat démocratique !
Réaction conjointe à la circulaire de Nathalie Kosciusko-Morizet sur les planifications énergétiques régionales (SRCAE) de
Peggy Kançal, déléguée au plan Climat – Région Aquitaine ,
Emmanuelle Bouchaud, vice présidente en charge de l'Energie ‐ Région Pays de la Loire
Mickaël Marie, conseiller régional délégué à l'énergie – Région Basse ‐ Normandie
Annick Delhaye, vice ‐ présidente « Développement soutenable, environnement, Energie, Climat » ‐ Région PACA
Raymond Joannesse, vice ‐ président au Développement Durable et Christophe Dumont, président du groupe des élus EELV – Région Champagne ‐ Ardenne
Christophe Porquier, vice ‐ président « Ecodéveloppement et Energie ‐ Climat » ‐ Région Picardie
Guy Hascouët, président du groupe des élus EELV ‐ Région Bretagne
Agnès Mollon, présidente du groupe des élus EELV ‐ Région Auvergne
Emmanuel Cau, vice ‐ président Aménagement du Territoire, Environnement et Plan Climat ‐ Région Nord ‐ Pas de Calais
Pierre Mériaux, élu au sein de la commission « Energie ‐ Climat » ‐ Région Rhône ‐ Alpes
David Cormand, président du groupe des élus EELV ‐ Région Haute ‐ Normandie
Cécile Duflot, présidente du groupe des élus EELV ‐ Région Ile de France
18 au 27 juillet 2011 : un nouveau volet à la coopération entre la Région Haute-Normandie et la Wilaya de Bejaïa, le volet culturel
Le Théâtre Régional de Béjaïa a accueilli des artistes haut-normands pour une semaine culturelle co-produite avec l'association normando kabyle rouennaise Tafsut.
Une restitution de l'événement se tiendra dans l'hémicycle régional le 16 novembre prochain.
18 juin - 19 juillet 2011 : enquête publique "Expérimentations de clapage des sédiments de dragage d'entretien du Port de Rouen en Baie de Seine orientale"
Le Grand Port Maritime de Rouen (GPMR) projette d'expérimenter le clapage des sédiments de dragage sur un nouveau site en Baie de Seine orientale. Après une première enquête publique (novembre/décembre 2010) remise en cause par plusieurs élus et accumulant les avis très réservés voire négatifs(1), les Préfets de Haute et de Basse-Normandie se sont prononcés pour l'ouverture d'une nouvelle enquête.
POSITION d'EELV de Haute- et Basse-Normandie
Europe Ecologie – Les Verts de Basse- et Haute-Normandie exprime ses fortes réserves quant à cette expérimentation du clapage au Machu, selon les modalités présentées par le Grand Port Maritime de Rouen considérant :
L'ambition affichée dans de nombreuses publications du Port de rendre le site pérenne à l'issue de l'expérimentation (et compenser ainsi la saturation du site du Kannik pour les sédiments de dragage annuel)
La nature des sédiments et donc les risques sanitaires qui restent à préciser
La proximité du site du Machu avec des zones Natura 2000
Les impacts sur les filières pêche et tourisme
EELV demande :
Un repérimétrage du projet
limitation claire du projet à l'expérimentation
redéfinition des bio-indicateurs et les autres conditions de suivi scientifique en lien avec les acteurs comme les pêcheurs, le GIP Seine Aval, etc. et traduits dans un cahier des charges de l'expérimentation à vocation de « connaissance scientifique »
Une évolution des normes « GEODE » et l'indépendance de la structure les définissant
réexamen des seuils « GEODE » de remise en mer pour prendre en compte les effets de reconcentration et d'interaction entre polluants
indépendance de la structure garante de ces mesures vis-à-vis des Ports
Une évaluation économique du projet et la recherche d'alternatives
étude des alternatives au dragage et au clapage (valorisation des sédiments en cycles courts), en s'appuyant notamment sur les travaux menés par ailleurs (ex. projet SETARMS en Manche, expériences conduites aux Pays-Bas…), ce avec des moyens humains et financiers adaptés
évaluation des conséquences économiques du projet à court, moyen et long terme, notamment sur les filières de pêche et de tourisme en Baie de Seine
Une meilleure gouvernance interportuaire
la mise en place une structure de gouvernance à l'échelle de l'Estuaire et de la Baie de Seine (collaboration entre les ports)
une gestion intégrée de l'Axe Seine, l'Estuaire et la Baie de Seine
(1) D'élus locaux, du Conseil scientifique de l'estuaire de la Seine , du Comité régional des Pêches maritimes de Basse-Normandie, d'associations environnementales etc.
27 juin 2011 : séance plénière - décision modificative
· Débat de politique générale – Laure Leforestier sur le printemps arabe, la situation européenne (crise grecque, euro, mouvement des indignés…)
· Rapport « Transports » - Jérôme Bourlet sur les projets d'infrastructures dans la région (Ligne Nouvelle Paris-Normandie, déviation Sud-Ouest d'Evreux, arasement du chenal de Rouen, Plate-forme multimodale du Havre…)
Explications de vote :
· Vote contre l'autorisation de programme de 762 000 € - en complément de celle de 25 M € ouverte au BP 2011 - proposée pour la réalisation de la « Déviation Sud Ouest d'Evreux », conformément au vote en séance budgétaire de décembre 2010.
Nous rappelons une nouvelle fois les conséquences environnementales que présentent cette infrastructure (destruction d'une partie du massif de la Madeleine , fermeture de bassins de captage d'eau) alors même que les prévisions de trafic et le contexte financier ne la justifient pas. Toute nouvelle infrastructure routière entraîne un accroissement du trafic routier. Les derniers éléments parus sur les pollutions aux particules fines dans nos agglomérations viennent confirmer l'urgence de penser autrement mobilité et déplacements. EELV demande donc pour ce chapitre un vote séparé du reste du rapport « Transports ».
· Abstention sur l'autorisation de programme de 10M€ pour le « Chantier multimodal Le Havre »
Si EELV ne peut qu'encourager la multimodalité, le projet actuel pose problème du fait :
o de son implantation à l'Est de la zone portuaire , en frontière de la réserve naturelle. Un tel choix viendrait renforcer à terme l'argument en faveur du "prolongement" du grand canal du Havre, auquel nous nous opposons, alors même que des zones situées plus à l'ouest seraient mobilisables depuis le déménagement d'entreprises sur Port 2000. Différents professionnels sont opposés à ce choix d'implantation, en particulier les mariniers (cf. Supplément Paris Normandie 23/05 AvenirSeine.com), du fait de son éloignement par rapport à Port 2000 et, par conséquent, les coûts supplémentaires que le transport jusqu'à cette plate-forme engendreraient ;
o du peu de cas fait des questions environnementales (en particulier de la zone humide) ;
o de la probable inadaptation à un fort report modal , spécialement fluvial ;
Le GPMH a présenté une demande de dérogation "espèces protégées", pour pouvoir réaliser la plate-forme dans les délais souhaités. Il a reçu des avis réservés ou négatifs du conseil scientifique régional du patrimoine naturel de Haute-Normandie, de la commission faune du Conseil national de la protection de la nature et de l'Autorité environnementale.
Nous avons soulevé tous ces points auprès de nos partenaires de la majorité lors de l'étude de ce dossier ce qui a entrainé une modification du texte ouvrant à autorisation de programme. La Région sera donc « attentive au respect scrupuleux de la règlementation et à l'absence de conséquences négatives de ce projet sur l'environnement. »
Si le projet du GMPH n'était pas modifié ou s'il tenait insuffisamment compte des impacts environnementaux au moment de l'individualisation en commission permanente, notre groupe votera alors contre un soutien financier à cette plate-forme.
22 juin 2011 - Fuites radioactives à Paluel, salariés en danger.
Communiqué de Véronique Bérégovoy, conseillère régionale et Myriam Toulouse, porte-parole 76 d'EELV
« Voilà de nombreux mois qu'une fuite d'iode radioactif existe dans l'une des tranches de la centrale de Paluel . », nous alertait, le 16 juin, via son blog [1] , la CGT Paluel.
La réponse d'EDF à cette défaillance inquiétante : l'envoi sur site, en activité et en pleine puissance, de salariés chargés d'identifier l'origine de la fuite et son ampleur ! Au risque d'être irradié ? Le site Mediapart publie aujourd'hui un article d'importance relatant l' « inquiétude grandissante chez les agents et, pour certains, de l'angoisse et de la panique. » A 100 jours de l'accident de Fukushima, alors que nombre de reportages sont venus témoigner des dangers encourus par les travailleurs du nucléaire et du sacrifice des liquidateurs, nous ne pouvons que dénoncer cette irresponsabilité.
Certes des tests de résistance ont été lancés par l'Union européenne pour les 143 réacteurs nucléaires en service. La France mène également un audit de ses 58 centrales. Mais, cette démarche est loin d'être suffisante, d'autant qu'elle n'associe pas l'ensemble des acteurs concernés. Compte tenu que notre région produit 11 % de l'électricité nucléaire française, nous avions sollicité le Préfet de Région pour que soit réunie une conférence régionale sur la sûreté nucléaire et notre stratégie énergétique, associant l'ensemble des parties concernées. Demande restée lettre morte pour le moment mais que nous réitérons.
Actuellement en conférence à Vienne sur la sureté nucléaire, l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), par la voix de son directeur général, Yukiya Amano a affirmé que « continuer comme avant n'est pas une option ».
En effet, il s'agit dès aujourd'hui de penser l'après-nucléaire . L'Allemagne, l'Italie s'y sont engagés. Dans notre région, la réalisation d'une étude à même d'identifier les potentiels locaux et les actions concrètes à engager, à l'échelle de notre région, pour éviter la construction d'un nouvel EPR et anticiper le non-renouvellement des centrales existantes serait la première étape . D'ores et déjà, dans d'autres régions, des associations ont entamé, voire finalisé, des démarches similaires (Nord Pas de Calais, Ile de France, Pays de la Loire ).
La sécurité des personnes (salariés et population environnante), la sécurité des installations ne sont pas de simples variables d'ajustement.
(1) http://cgt-dieppe.over-blog.com/
Avril 2011 - participation à l'enquête publique sur le projet de d'amélioration des accès maritimes du port de Rouen (arasement du chenal) : trois conditions à respecter en temps et en heure.
Projet présenté par le Port Autonome de Rouen (devenu Grand Port Maritime de Rouen, GPMR) en 2005, l'amélioration des accès maritimes pour le passage de bateaux à plus fort tirant d'eau suppose l'arasement des points hauts du chenal. L'ampleur du projet aurait pu conduire à la tenue d'un débat public. Tel ne fut pas le choix alors. La concertation entre acteurs (Port, collectivités, associations, etc.) aboutît positivement et permis l'inscription au contrat de projet Etat-Région 2007-2013 (CPER 2007-2013).
Oui à la poursuite des études relatives au projet (1) mais sous conditions, celles
de la bonne réalisation d'études sur la nature des boues soulevées par l'arasement et l'impact éventuel sur la biodiversité et la santé,
de la restauration des berges de la Seine et de ses annexes hydrauliques
du classement des Boucles de la Seine au titre des sites.
Et depuis, le projet avance, mais le respect des conditions recule…
Restauration des berges de la Seine : des budgets revus à la baisse et un portage insuffisant
Le Département de Seine-Maritime, a décidé, dans le cadre de « Grande Seine 2015 » de porter à la baisse les crédits dédiés à cette « restauration des berges de la Seine et de ses annexes hydrauliques », alors que dans le CPER 2007-2013, il s'était engagé à participer à hauteur de 54 millions d'euros (2) .
Argument développé : une surestimation des besoins et le déficit de projets et de porteurs de projets. Les acteurs haut-normands investis sur les questions environnementales, culturelles et patrimoniales liées à l'Axe Seine apprécieront.
Fédérer les dynamiques et susciter les projets, c'est aujourd'hui pour les rendre effectifs de façon concommitante avec les travaux prévus. Nous ne voulons pas revivre l'expérience havraise de Port 2000 où, in fine, la majorité des engagements sont respectés mais au prix d'un rappel permanent, de mises en demeure de la commission européenne et d'un calendrier si décalé que les mesures s'avèrent parfois au mieux insuffisantes, au pire obsolètes.
Classement des Boucles de la Seine
Le projet de classement de la Boucle de Roumare présenté le 10 juin 2010 à la Commission Supérieure des Sites et Paysages a reçu un avis favorable à l'unanimité. Nous attendons donc la décision du Conseil d'État, dernière étape avant la prise du décret de classement. Pourrons dès lors être entamées les procédures pour le Marais Vernier et les autres boucles.
Pourtant les attaques sont toujours aussi vives, tant d'acteurs économiques et politiques, à l'égard du projet de classement des Boucles de Seine : multiplication des sorties dans la presse, publications spécifiques et déclarations, développement d'arguments développés contre le classement pour le moins infondés, pour ne pas dire mensongers.
Comme nous l'avions déjà formulé dans des courriers adressés à M. le Préfet et à M. le Directeur général du GPMR en septembre 2009, comme le rappelons régulièrement, c'est au respect des engagements pris, en temps et en heure, avec les moyens techniques et financiers nécessaires, que nous en appelons.
Le respect de ces trois engagements n'est pas une option mais conditionne la poursuite du projet. A défaut, nous saisirons la commission nationale de débat public pour demander qu'un débat public soit organisé.
(1) Décision inscrite dans la délibération du Conseil d'Administration du Port Autonome de Rouen, en date du 25 mars 2008
(2) Sur un budget global du Département de 85M€ pour les actions de dragage et les mesures environnementales .
22 avril 2011 - Coopération décentralisée Haute-Normandie / Astinanana : une nouvelle étape, des liens renforcés .
Du 22 avril au 1er mai 2011, Claude Taleb, vice-président en charge de la coopération Nord/Sud, se rendra à Tamatave (région Astinanana / Madagascar) pour engager une nouvelle étape dans la coopération entre nos deux régions.
Initiée au début des années 2000, la coopération entre les régions Astinanana et Haute-Normandie a été formalisée dans un protocole d'accord co-signé en mai 2008 pour une durée de trois ans. La mission à Tamatave sera l'occasion de poursuivre les projets par la signature d'un nouveau protocole d'accord pour les trois prochaines années.
Signature du protocole d'accord entre les deux Régions par Claude Taleb, vice-président à la coopération décentralisée et Alain Mahavimbina, chef de la Région Astinanana |
Cette coopération privilégie le transfert de compétences dans des domaines d'action de la Région - formation professionnelle, énergies, agriculture/développement rural – en s'appuyant sur l'expertise d'acteurs haut-normands. Ainsi les programmes de coopération concernent :
· le développement rural, notamment au travers du projet « Campus Paysan »
Acteurs : Esitpa, Université de Tamatave et Chambre de commerce de Tamatave.
Ce programme concerne la formation de paysans leaders, acteurs du développement rural dans leurs communautés, la constitution d'une base de données à travers l'Observatoire de la ruralité, comme matière pour les travaux du laboratoire pluri-disciplinaire de l'Université de Tamatave et outil pour les acteurs institutionnels et socio-économiques.
Etre formé par Campus Paysan pour devenir autosuffisant en riz, développer de nouvelles productions et activités et essaimer dans sa communauté (devenir des paysans leaders) |
· l'économie du bois, en particulier la formation professionnelle dans les domaines des métiers du bois ( historiquement affûtage et désormais aussi menuiserie, maintenance des machines outils) et de la gestion forestière.
Claude Taleb, vice-président à la coopération décentralisée et Alain Mahavimbina, chef de la Région Astinanana, entouré des élèves du CCS de Tamatave. | |
Les élèves du CCS ont reçu de la part de la Région Astinanana des équipements aux couleurs des deux régions. |
Acteurs : Pôle Bois d'Envermeu, Centre Culturel et Social (CCS) de Tamatave, Chambre de commerce et d'industrie, entreprise Bonnet, Lycée français, Direction régionale des Eaux et Forêts.
La mission sera l'occasion d'initier le projet de gestion forestière en forêt d'Antetetanaza . A un programme initial de reboisement de parcelles est aujourd'hui joint un programme d'aménagement de la forêt en site éco-touristique (pépinière, protection du littoral par reboisement, aménagement de sentiers...)
Restaurer le littoral en plantant des filaos | |
Les bois par la population sont prélevés utilisés pour fabriquer du charbon de bois, il faudra donc une réponse alternative à ces besoins | |
Elaboration d'un plan de gestion de la forêt par un partenariat Université de Tamatave / direction des Eaux et Forêts / CCS |
Sera également inauguré le séchoir financé par la Région Haute-Normandie et le Ministère français des Affaires Etrangères et Européennes pour le CCS, indispensable à un travail du bois limitant les pertes et les dégradations.
Bois séché grâce au séchoir financé dans le cadre de la coopération : moins de perte, des produits finis de meilleure qualité. | |
Le séchoir est alimenté par des briquettes de copeaux de bois, issus des travaux du bois du CCS et compressés par la presse à briquettes financée par la Région. Leur pouvoir calorifique important permet d'atteindre les besoins de chauffe du séchoir sans recours à l'électricité secteur. Une attention est portée à ne pas déstructurer l'économie informelle autour des copeéaux de bois, qui alimentent les habitants alentour. |
· L' électricité , en particulier la formation professionnelle
Acteurs : l'association Energies Santé Formation et le CCS de Tamatave.
Après l'électrification des locaux du CCS et en complément des actions menées sur la formation bois, des formations à l'électricité vont être prochainement délivrées au sein du CCS et auprès d'entreprises locales.
La mission permettra également de visiter les hameaux électrifiés (électrification solaire) par les élèves de BTS et de Bac pro haut-normands, lauréats en 2010 de l'appel à projet « Electrification durable » lancé par la Région Haute-Normandie , le Rectorat, ESF et EDF.
· L'enseignement supérieur et la recherche
Acteurs : les Universités du Havre, de Rouen, l'Esitpa et l'Université de Tamatave.
La coopération concerne l'apprentissage du Français Langue Etrangère, formation de la relève, co-tutelle de thèses...
Toutes ces actions s'inscrivent dans la stratégie de développement local et sont co-pilotées par nos deux régions.
Communiqué.
FOCUS
Clara Osadtchy et Véronique Bérégovoy à la Mairie de Trouville-sur-mer.
Le communiqué de presse de Véronique Bérégovoy et Clara Osadtchy, conseillères régionales EELV de Haute- et Basse-Normandie.
Le dossier complet de l'enquête.
La motion adoptée par la Région Basse-Normandie.
Le communiqué de presse de Véronique Bérégovoy et Clara Osadtchy lors de la conclusion de la première enquête, en février 2011.
Commissions permanentes de la Région, le temps des délibérations
Retrouvez les délibérations adoptées par la commission permanente et soutenues par les élus EELV.
Dernière mise en ligne : CP du 11 juillet 2011.
Les élus cité dans la presse
5 juillet 2011 - Filfax - Environnement - Dépôts de dragage du chenal de Rouen - Les écologistes normands sont très réservés sur le projet du port
Dernières tribunes du groupe dans Ma Région, le magazine de la collectivité
septembre 2011 |
Ma Région - tribune de David Cormand |
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juillet - août 2011 | Ma Région - tribune de Laure Leforestier
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juin 2011 |
Ma Région - tribune de Jérôme Bourlet Dans la région la plus fragmentée de France, la construction des trames verte et bleue démarre.
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mai 2011 | Ma Région - tribune de Véronique Bérégovoy Développement du fluvial, respecter les conditions pour être performants. |
avril 2011 | Ma Région - tribune de Laure Leforestier La maîtrise du risque nucléaire est un mythe.
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